La majorité des ransomwares exploitent des erreurs simples et évitables. Découvrez les 7 fautes les plus fréquentes et comment CYDFIR les bloque grâce à ses offres MSSP.
… et comment CYDFIR les bloque avant qu’il ne soit trop tard
Les ransomwares ne commencent jamais par un écran noir et une demande de rançon.
Ils commencent par une erreur humaine, organisationnelle ou technique.
Chez CYDFIR, nos analyses d’incidents montrent que plus de 80 % des attaques réussies auraient pu être stoppées… si certaines erreurs n’avaient pas été commises.
Voici les 7 erreurs les plus fréquentes — et comment nos offres Essentielle, Avancée et Premium les neutralisent.
Sources : Offre Essentielle • Offre Avancée • Offre Premium
Les attaques les plus graves commencent entre 22h et 5h du matin.
Les équipes internes ne surveillent pas → l’attaquant a des heures pour progresser.
👉 Une attaque découverte au réveil est déjà trop tardive.
Avec CYDFIR, elle est stoppée à la minute.
Le MFA protège… sauf quand il est mal paramétré :
Dans 70 % des ransomwares, une machine infectée reste connectée pendant plusieurs heures.
Résultat :
→ propagation latérale
→ extraction de données
→ comptes administrateurs compromis
Une alerte isolée ne dit rien.
Une série d’alertes corrélées raconte une attaque.
Sans SIEM (Sentinel) :
→ impossible de voir la progression complète de l’attaquant.
Les entreprises pensent être protégées parce qu’elles ont Defender for Endpoint.
Mais un EDR mal géré devient inutile :
Les attaquants cherchent toujours à obtenir :
Une fois obtenu → fin de la partie.
Les ransomwares modernes restent dormants pendant des jours ou semaines avant d’être déclenchés.
Sans threat hunting :
→ aucune chance de les repérer avant qu’ils ne frappent.
Chaque erreur listée ci-dessus est évitable.
Chaque attaque peut être stoppée bien avant qu’elle ne chiffre vos serveurs.
CYDFIR apporte :
👉 Les cybercriminels évoluent vite. Votre défense doit aller encore plus vite.